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27 juillet 2005 3 27 /07 /juillet /2005 00:00
Eau dans l'Indre : l'heure est aux interdictions
( 25/06/2005 )

Le préfet de l'Indre a signé hier un arrêté instaurant des interdictions d'usage de l'eau, applicables depuis ce samedi matin et jusqu'au 15 octobre.
 

Il fallait s'y attendre, comme nous vous le disions dans notre édition de vendredi. C'est donc fait. Pour les particuliers habitants de l'Indre, cela se traduit concrètement par l'interdiction de laver son automobile en dehors d'une station de lavage, d'arroser les pelouses ou de remplir les piscines privées.

Pour les agriculteurs du département et selon l'endroit où se trouve leur exploitation, les mesures vont du plan d'alerte au plan de crise. Pour eux, les pompages en cours d'eau ou nappes sont soit autorisés une partie de la journée seulement (l'après-midi), soit carrément interdits. C'est le cas notamment pour les agriculteurs dont les terres se trouvent sur les bassins versants de l'Herbon, de l'Anglin en amont, de l'Indrois, du Brion, de l'Allemette, de l'Igneraie, de la Grosse planche et de la Vignole.

Ces interdictions sont à géométrie variable. Elles prennent en compte la nécessité de préserver la ressource en eau et le besoin de ne pas bloquer la machine économique. C'est ce qui explique la possibilité laissée, selon les secteurs, aux agriculteurs de pomper. C'est ce qui explique aussi des mesures — surprenantes au premier abord — de l'arrêté préfectoral. Ainsi, il décide l'interdiction de l'arrosage des terrains de sport, mais autorise celle des greens des terrains de golf.

Quant aux practices et fairways, leur arrosage est juste limité (la nuit). On pourrait y voir l'intervention du lobby des golfeurs, ce que dément Emmanuel Aubry, le secrétaire général de la préfecture de l'Indre. « Un green, c'est 120.000 € et ça a un intérêt touristique, donc économique », explique-t-il. C'est ce respect de l'intérêt « touristique donc économique » qui sauve pour l'instant les espaces verts en massifs fleuris que les collectivités vont pouvoir continuer d'arroser. De même, l'arrêté reconnaît l'intérêt économique pour le particulier des légumes du jardin : les potagers destinés à la consommation peuvent toujours être arrosés.

Nous sommes donc en situation de restriction, mais devra-t-on aller plus loin s'il ne se met pas à pleuvoir abondamment. Oui, confirme Emmanuel Aubry : s'il ne se met pas à pleuvoir abondamment, un arrêté plus rigoureux pourra être pris par le préfet.


Christophe COLINET NOUVELLE REPUBLIQUE

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27 juillet 2005 3 27 /07 /juillet /2005 00:00
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27 juillet 2005 3 27 /07 /juillet /2005 00:00
Le 21 juillet 2005 - 17:19
En période estivale, les services sanitaires effectuent des prélévements des eaux de baignade tous les quinze jours.
En tout, six zones de baignade sont autorisées dans le département.
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27 juillet 2005 3 27 /07 /juillet /2005 00:00
Le 26 juillet 2005 - 18:40
Plus de 70 projets d'éoliennes sont à l'étude dans le département, notamment en Beauce. Onze communes sont concernées. A lire, dans La Rep' de mercredi, la carte des futures implantations.

www.larep.com

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19 juillet 2005 2 19 /07 /juillet /2005 00:00

Embarquement...

Pendant 5 jours, la ville d’Orléans rend hommage à la Loire, l’un des derniers grands fleuves sauvages d’Europe, en accueillant la 2ème édition du Festival de Loire. Du 21 au 25 septembre 2005, plus de 1 000 m de quais aménagés en Port vont accueillir le plus grand rassemblement de bateaux fluviaux : une importante flotte de bateaux traditionnels essentiellement de la Loire mais également d’autres fleuves français et de Hollande accosteront à Orléans pour fêter la Loire.

5 jours pour fêter la Loire

Sapines, toues, gabarres, futreaux, vapeurs, yoles, bateaux traditionnels hollandais, canoës… investiront les quais d’Orléans redevenus le “Port d’Orléans” pour accueillir le plus important rassemblement fluvial. Les visiteurs sont, alors, invités à découvrir et s’approprier une partie du patrimoine culturel et naturel du Val de Loire, inscrit, depuis 2000 par l’UNESCO, au Patrimoine Mondial de l’Humanité.

Le Festival de Loire est un rendez-vous inhabituel et une occasion unique de faire connaître le patrimoine fluvial du Val de Loire. L’activité ne s’essouffle pas : les coques élancées ou massives des bateaux de charge, de pêche s’exposent, chants marins, théâtre de rue, spectacles sur la Loire embarquent les visiteurs dans un autre monde.

Animations et spectacles

En journée, des démonstrations nautiques par les bateliers : pose de filets en Loire, parades, déchargement de marchandises, manoeuvres de piautres, trains de chaland, régates, démonstrations de pêche, embarquement quai du Roi pour des balades en gabare à bord de “Loire de Lumière”…

En soirée, l’eau, le feu et la lumière se mettront en scène autour de spectacles divers : jets d’eau lumineux près de l’écluse, descente aux flambeaux en canoëskayaks, embrasement de sculptures éphémères, concerts, théâtre de rue, spectacles pyrotechniques…

Pour en savoir plus, visitez le site du festival

Embarquement...

Pendant 5 jours, la ville d’Orléans rend hommage à la Loire, l’un des derniers grands fleuves sauvages d’Europe, en accueillant la 2ème édition du Festival de Loire. Du 21 au 25 septembre 2005, plus de 1 000 m de quais aménagés en Port vont accueillir le plus grand rassemblement de bateaux fluviaux : une importante flotte de bateaux traditionnels essentiellement de la Loire mais également d’autres fleuves français et de Hollande accosteront à Orléans pour fêter la Loire.

5 jours pour fêter la Loire

Sapines, toues, gabarres, futreaux, vapeurs, yoles, bateaux traditionnels hollandais, canoës… investiront les quais d’Orléans redevenus le “Port d’Orléans” pour accueillir le plus important rassemblement fluvial. Les visiteurs sont, alors, invités à découvrir et s’approprier une partie du patrimoine culturel et naturel du Val de Loire, inscrit, depuis 2000 par l’UNESCO, au Patrimoine Mondial de l’Humanité.

Le Festival de Loire est un rendez-vous inhabituel et une occasion unique de faire connaître le patrimoine fluvial du Val de Loire. L’activité ne s’essouffle pas : les coques élancées ou massives des bateaux de charge, de pêche s’exposent, chants marins, théâtre de rue, spectacles sur la Loire embarquent les visiteurs dans un autre monde.

Animations et spectacles

En journée, des démonstrations nautiques par les bateliers : pose de filets en Loire, parades, déchargement de marchandises, manoeuvres de piautres, trains de chaland, régates, démonstrations de pêche, embarquement quai du Roi pour des balades en gabare à bord de “Loire de Lumière”…

En soirée, l’eau, le feu et la lumière se mettront en scène autour de spectacles divers : jets d’eau lumineux près de l’écluse, descente aux flambeaux en canoëskayaks, embrasement de sculptures éphémères, concerts, théâtre de rue, spectacles pyrotechniques…

Pour en savoir plus, visitez le site du festival

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19 juillet 2005 2 19 /07 /juillet /2005 00:00
 
Grand succès pour l'opération de remise de sacs de course réutilisables par Tour(s)plus
 


Il faut de 400 à 1 000 ans pour qu’un sac plastique se dégrade. Or, chaque année dans l’agglomération, près de 100 millions de sacs à usage unique sont utilisés. Un problème majeur car ils sont non recyclables ! Ceux qui sont collectés seront enfouis, les autres abîment notre cadre de vie.

Avec Tour(s)plus, choisissons de faire autrement !

DES SACS QUI PESENT LOURD

La surconsommation de sacs de caisse a des conséquences importantes : un fort impact sur l’environnement, la dégradation des sites naturels et un danger pour la faune et la flore.

C’est également une dépense pour chacun car le coût des sacs se répercute sur nos achats et, une fois jetés, ce sont 600 tonnes de déchets que la collectivité doit traiter.

Rappelons-nous que des déchets non produits ne sont ni à traiter, ni à recycler. Avoir recours à un sac de course réutilisable, c’est s’engager à produire moins de déchets ; une réflexion qui a conduit Tour(s)plus a mener une opération d'envergure afin de modifier les habitudes en la matière.

La production de déchets est passée en 30 ans de 220 à 440 kg/an/ habitant !

Pourquoi ? En grande partie à cause de nos modes de consommation, de la multiplication des produits « jetables » (sacs de caisse, lingettes, vaisselle, etc...) et du suremballage des produits, inutile et générant un surcoût important.

Le tri et le recyclage sont efficaces mais inapplicables à tous les déchets.

C'est pourquoi Tour(s)plus a lancé une grande opération de distribution gratuite de sacs de course réutilisables, à l'occasion de la Semaine du développement durable. Ainsi, de nombreux habitants de l'agglomération se sont engagés à réduire de manière significative, à la fois leur consommation de sacs plastiques et celle de produits "jetables" ou à usage unique.

sac de course

CAP 21 salue cette iniatiative et encourage tous les citoyens soucieux de la préservation de notre planète à soutenir cette opération de sensibilistion. Aidons-les à changer de comportement !

Christian Beaudin

 

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19 juillet 2005 2 19 /07 /juillet /2005 00:00

Patrimoine Mondial de l'UNESCO.

La Mission Val de Loire a été mise en place en 2002 pour assurer la gestion de cette inscription. Découvrez la région et son patrimoine, préparez votre séjour, informez vous sur l'actualité du Val de Loire ou sur les activités de la Mission.

La carte du périmètre inscrit
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19 juillet 2005 2 19 /07 /juillet /2005 00:00
Loire à Vélo : une grande réalisation interregionale à dimension Européenne

Quand les bords de Loire deviennent cyclables, l’union entre les Régions Centre et Pays de la Loire s’en trouve renforcée.

L’idée d’un itinéraire cyclable longeant tout le cours de la Loire prend sa source en 1995, à l’issue d’une étude exploratoire conduite conjointement par les Régions Centre et Pays de la Loire consacrée à un projet d’aménagement des bords de Loire pour la pratique du vélo. Les résultats les conduisent à s’engager dans un programme interrégional de grande ampleur, associant l’ensemble des autres collectivités territoriales concernées : 6 départements (Cher, Loiret, Loir-et-Cher, Indre-et-Loire, Maine-et-Loire, Loire-Atlantique), 6 agglomérations (Orléans, Blois, Tours, Saumur, Angers, Nantes).

La Loire à Vélo, c’est à terme 800 Km d’itinéraires balisés et sécurisés entre Cuffy dans le Cher et Saint-Brévin-les-Pins en Loire-Atlantique, pour tous les pratiquants du vélo : enfants et adultes, familles et seniors, riverains et touristes. La part de pistes cyclables est de 12 %. Le reste est réalisé sur des voies cyclables, des routes partagées sans transit et des routes à faible circulation (moins de 500 véhicules par jour). Il faut aussi compter avec les 300 aires d’accueil qui seront aménagées. Le programme porté par les deux régions représente un investissement de 52 millions d’€, financé à 60% par les budgets régionaux, avec la participation à hauteur de 40 % des départements et des agglomérations qui assurent la maîtrise d’ouvrage des travaux d’aménagement et d’une partie de la signalisation.

Au-delà de l’itinéraire physique, La Loire à Vélo constitue l’un des plus importants potentiels de fréquentation de véloroutes françaises, selon l’Agence française d’ingénierie touristique. Elle représente un véritable projet structurant de développement touristique avec un travail de qualification de l’accueil pour l’adapter aux besoins des touristes à vélo. Les gestionnaires de sites touristiques, les professionnels de l’hébergement, de la location et la réparation de vélos sont d’ores et déjà engagés dans des démarches qualité avec une offre de services adaptée : acheminement des bagages, espaces parc à vélo fermes, matériel de réparation spécifiques …

La Loire à Vélo s’inscrit également dans une vision plus large du tourisme d’itinérance à vélo en étant partie prenante de « l’Eurovéloroute des fleuves » qui reliera Nantes à Budapest (Hongrie) sur 2 400 Km, traversant la France, la Suisse, l’Allemagne, l’Autriche, la Slovaquie et la Hongrie, le long de la Loire, du Doubs, du Rhin et du Danube.

Cette dimension européenne de La Loire à Vélo la connecte avec une réalisation majeure du tourisme d’Europe du Nord, le Danube à Vélo, fréquenté par environ 200 000 touristes par an. Elle se traduit par un programme européen de financement, piloté et coordonné par la Région Centre.

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18 juillet 2005 1 18 /07 /juillet /2005 00:00
25ème Congrès international de la population à Tours
Le 18 juillet 2005 - 20:16

Le commissaire européen à l'Emploi, aux affaires sociales et à l'égalité des chances, Vladimir Spidla a appelé lundi à Tours les Européens à relever ensemble les défis du recul de la natalité et du vieillissement, en ouvrant le 25ème congrès international de la population.

"Le recul de la population est une réalité en Europe", a déclaré M. Spidla, rappelant que l'Allemagne et l'Italie pourraient dans les décennies qui viennent voir diminuer leur population, celle de l'Espagne stagner grâce à l'immigration, seules la France et la Grande-Bretagne la voyant augmenter.

"La combinaison du vieillissement et du faible taux de fécondité (...) ne doit pas remettre en cause les valeurs qui fondent notre modèle social, en particulier l'universalité d'une protection sociale de qualité", a ajouté M. Spidla.

Le commissaire européen s'exprimait au côté du ministre français délégué à la Recherche et l'enseignement supérieur, François Goulard, et des organisateurs de ce congrès qui réunit jusqu'au 23 juillet quelque 2.000 spécialistes venus de 110 pays, l'année même où la population mondiale doit atteindre les 6,5 milliards d'habitants.

"Deux phénomènes majeurs nous interpellent: l'accroissement démographique de la planète et son vieillissemement démographique en Europe et aussi sur la planète", a souligné M. Goulard qui a demandé aux congressistes de réaliser "une synthèse (...) utile aux décideurs nationaux et internationaux".

Présentant les enjeux de la rencontre, qui a lieu une fois tous les quatre ans, la présidente du comité international d'organisation, Catherine Rollet, a élargi le débat démographique à l'ensemble du monde.

"Comment gérer les quelque trois milliards d'humains qui vont s'ajouter d'ici 45 ans aux 6,5 milliards que nous sommes déjà ?" a-t-elle interrogé.

Rappelant que l'accroissement de la population allait surtout se produire dans les pays pauvres, Mme Rollet a avancé un second thème de réflexion: le partage des richesses et des savoirs. "L'espérance de vie peut passer du simple au double selon les pays", a rappelé l'universitaire.

"Troisième question: le vieillissement. Demain, nous compterons beaucoup plus de personnes âgées, voire très âgées. Comment leur permettre de vivre humainement ? Quelles influences ces changements auront-ils sur l'âge de la retraite ? Cela ne plaide-t-il pas pour une formation tout au long de la vie ?" a-t-elle ajouté.

Le congrès abordera aussi "la question des migrations, qui ont façonné l'histoire de l'humanité", a souligné Mme Rollet.

A ce titre, le président de l'Union internationale pour l'étude scientifique de la population (UIESP), Jacques Vallin, a souligné qu'il fallait "revoir le problème des migrations". "On peut s'interroger sur la frilosité de l'Europe sur ce point", a-t-il commenté en référence à la politique restrictive de l'Europe en matière d'immigration.

"Imaginons l'entrée de la Turquie en Europe: y aurait-il une déferlante turque ? C'est peu probable. Ouvrir les frontières aux pays du Maghreb serait-il dramatique ?"

(Source AFP)
 
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15 juillet 2005 5 15 /07 /juillet /2005 00:00
L'aspartame s'avère cancérigène chez le rat
Le 15 juillet 2005 - 20:05
Substitut sucré - Photo AFP

L'aspartame, utilisé pour donner une saveur sucrée à plus de 6.000 produits allégés dans le monde, s'avère cancérigène chez le rat, selon une nouvelle étude scientifique qui pourrait conduire à réévaluer les risques liés à cet édulcorant.

Les travaux démontrent "pour la première fois que l'aspartame est un agent cancérigène", a déclaré jeudi la Fondation européenne d'oncologie et de sciences environnementales "B. Ramazzini" à Bologne (Italie)

L'aspartame a été découvert en 1965 et commercialisé aux Etats-Unis depuis 1974 et en France depuis 1988. Il remplace le sucre dans de nombreuses boissons, bonbons, desserts dits "light", certains produits pharmaceutiques, notamment des sirops et antibiotiques pour enfants. Il avait déjà été soupçonné de provoquer des cancers du cerveau.

La nouvelle étude "confirme l'absence de liens entre aspartame et tumeurs du cerveau", a souligné vendredi l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) qui avait jugé en 2002 ce risque non prouvé.

Mais les résultats rendus publics jeudi soulèvent "de nouvelles questions sur les liens potentiels entre l'exposition à l'aspartame et la survenue de cancer", reconnaît l'Afssa.

L'aspartame entraine une "augmentation statistiquement significative des lymphomes et des leucémies chez les rats femelles, lorsqu'il est administré à des doses très proches de celles auxquelles les êtres humains peuvent être exposés", selon l'équipe italienne conduite par le Dr Morando Soffritti, dont les résultats doivent paraître dans la revue médicale European Journal of Oncology.

Les chercheurs appellent à "revoir rapidement" la règlementation concernant les doses admissibles de cet édulcorant "dans la nourriture et les boissons, en particulier pour protéger les enfants".

"Ces résultats préliminaires doivent encore être confirmés", estime pour sa part l'Afssa.

L'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a jugé jeudi "inapproprié de suggérer des changements dans les régimes alimentaires des consommateurs concernant l'aspartame sur la base des informations actuellement disponibles".

Une réévaluation des risques devrait commencer "dès que l'ensemble des données aura été fourni", précise l'Efsa dans un communiqué, relevant qu'elle prendra "vraisemblablement plusieurs mois" car les experts "prendront en compte les autres études et données disponibles à ce jour".

La dose journalière acceptable (DJA) d'aspartame est actuellement fixée à 40 mg par jour et par kilogramme de poids corporel pour l'homme au sein de l'Union européenne et à 50 mg/kg aux Etats-Unis.

La dose moyenne journalière d'aspartame effectivement consommée par la population se situerait entre 2 et 3 mg/kg, "mais davantage pour les enfants et les femmes enceintes", rappelle l'équipe italienne.

Lors de ses travaux portant sur 1.800 rats, les rongeurs ont reçu de l'aspartame, de l'âge de 8 semaines à la fin de leur vie, à des doses qui correspondraient pour l'homme à des prises allant de 0 à 5.000 mg/kg.

L'augmentation de la fréquence des lymphomes et leucémies chez les rates est liée à la dose reçue, soulignent les chercheurs, relevant qu'elle apparaît même, de "façon non statistiquement significative", dès l'équivalent de 4 mg/kg. Chez le rat male, la hausse n'est constatée qu'à partir d'une dose journalière correspondant à 5.000 mg/kg chez l'homme.

Ces travaux ne montrent aucune augmentation significative des cancers du cerveau chez les rongeurs.

(Source AFP)
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